Savez-vous que :
Quand les Anglais sont arrivés en Australie, ils ont été étonnés de voir un étrange animal qui faisait des bonds incroyables. Immédiatement ils appelèrent un indigène et l'interrogèrent au moyen de signes. Ils notèrent que les indigènes disaient "Kan Ghu Ru" qu'ils ont transcrit par "Kangourou".
Or les linguistes détermineront quelques temps après que les indigènes voulaient dire "Je ne sais pas".
Savez-vous que :
Durant la guerre de sécession, quand les troupes se repliaient sur leurs quartiers sans aucune perte, on inscrivait sur une grande ardoise :"O. Killed." (zéro mort)
C'est de là que provient l'expression 'O.K." pour dire que tout va bien.
Savez-vous que :
Les conquistadores demandèrent aux indigènes du Yucatan, au Mexique, comment s'appelait ce lieu.
Ils répondirent "Yucatan". Ce qui signifiait : "Je ne suis pas d'ici".
Le saviez-vous?
Explication de la phrase "Qu'un sang impur abreuve nos sillons"
A l’époque, ce qu’on appelait le sang pur, c’était le sang des nobles qui, seuls, pouvaient prétendre au Pouvoir et à des fonctions d’officiers dans l’armée. Lors de la Révolution, et notamment de l’attaque des autrichiens, les nobles se sont enfuis et ne restaient donc que des « Sangs impurs » (Républicains), par opposition au « Sang pur » (royaliste). Au cri de la « Patrie est en danger », c’étaient des gens du peuple qui prenaient les armes pour combattre l’envahisseur et qui étaient disposés à verser leur sang pour la liberté.
Et les sillons sont des tranchées creusées un peu partout dans la campagne et les champs, lors des sanglantes batailles.
« Qu’un sang impur abreuve nos sillons » signifie donc que c’est notre « Sang impur » à NOUS, le peuple, qui nourrira nos terres.
En aucun cas il ne s’agit du sang de l’ennemi. Ce serait bizarre et incohérent quand même, de chanter que le sang de l’ennemi nourrit nos terres, nos sillons.