Savez-vous que :
Quand les Anglais sont arrivés en Australie, ils ont été étonnés de voir un étrange animal qui faisait des bonds incroyables. Immédiatement ils appelèrent un indigène et l'interrogèrent au moyen de signes. Ils notèrent que les indigènes disaient "Kan Ghu Ru" qu'ils ont transcrit par "Kangourou".
Or les linguistes détermineront quelques temps après que les indigènes voulaient dire "Je ne sais pas".
Savez-vous que :
Durant la guerre de sécession, quand les troupes se repliaient sur leurs quartiers sans aucune perte, on inscrivait sur une grande ardoise :"O. Killed." (zéro mort)
C'est de là que provient l'expression 'O.K." pour dire que tout va bien.
Savez-vous que :
Les conquistadores demandèrent aux indigènes du Yucatan, au Mexique, comment s'appelait ce lieu.
Ils répondirent "Yucatan". Ce qui signifiait : "Je ne suis pas d'ici".
Le saviez-vous?
Explication de la phrase "Qu'un sang impur abreuve nos sillons"
A l’époque, ce qu’on appelait le sang pur, c’était le sang des nobles qui, seuls, pouvaient prétendre au Pouvoir et à des fonctions d’officiers dans l’armée. Lors de la Révolution, et notamment de l’attaque des autrichiens, les nobles se sont enfuis et ne restaient donc que des « Sangs impurs » (Républicains), par opposition au « Sang pur » (royaliste). Au cri de la « Patrie est en danger », c’étaient des gens du peuple qui prenaient les armes pour combattre l’envahisseur et qui étaient disposés à verser leur sang pour la liberté.
Et les sillons sont des tranchées creusées un peu partout dans la campagne et les champs, lors des sanglantes batailles.
« Qu’un sang impur abreuve nos sillons » signifie donc que c’est notre « Sang impur » à NOUS, le peuple, qui nourrira nos terres.
En aucun cas il ne s’agit du sang de l’ennemi. Ce serait bizarre et incohérent quand même, de chanter que le sang de l’ennemi nourrit nos terres, nos sillons.
Belledonne
La chaîne de Belledonne est un massif des Alpes françaises situé aux portes de Grenoble, principalement en Isère, le versant nord-est se trouvant en Savoie. Elle culmine à 2977 mètres.
Les habitants sont appelés Belledonniens.
Lieu de tournage.
Le somptueux décor des pics enneigés de Belledonne a été utilisé dans plusieurs films :"Le Hussard sur le toit" où la dernière scène est tournée depuis le parc du château de Montbonnot, face à Belledonne.
"Les rivières pourpres" dont plusieurs scènes ont pour décor la vallée de la Romance, principalement dans l'ancienne maison de Charles Albert Leller à Livet-et-Gavet, entre Belledonne et Taillefer.
Le pavillon Keller est la maison de Charles Albert Keller (ingénieur des arts et métiers) située à Livet-et-Gavet, dans le département de l'Isère. L'édifice est labellisé Patrimoine en Isère
Une partie de la maison, haute de quatre étages et dotée d'un toit à pans coupés typique du début du xxe siècle, est construite en pierre (l'inscription « Établissements Keller et Leleux » y figure encore), alors que la seconde, en béton armé, est construite sur de grands pilotis en position dominante au-dessus de la Romanche : là se trouvait le bureau de Charles-Albert Keller, depuis lequel il pouvait observer l'ensemble de ses ateliers et usines situés de part et d'autre de la rivière. Actuellement, la maison est visiblement peu entretenue.
"La Petite Chartreuse" où le personnage de l'histoire fait des randonnées dans Belledonne.
Synonyme de mourir la métaphore "casser sa pipe" est née durant les guerres napoléoniennes, sous le Premier Empire.
A l'époque il était fréquent que les soldats gravement blessés sur les champs de batailles soient amputés par les chirurgiens militaires afin d'éviter une infection et le risque de gangrène. Malheureusement pour ces patients l'anesthésie n'avait pas encore mise au point. Afin de les soulager quelque peu on leur donnait un peu d'alcool. Une aide bien mince pour supporter l'amputation d'un membre.
Pour étouffer leurs inévitables hurlements de douleurs, on leur mettait une pipe en terre cuite entre les dents. Si le patient mourrait alors sa mâchoire se desserrait et la pipe se cassait en tombant sur le sol.
Reprise dans le langage courant la formule peut s'appliquer de nos jours à tous ceux qui passe l'arme à gauche !
Debra Bernier est une artiste extraordinaire de Victoria au Canada. Elle utilise des matériaux naturels, tels que le bois flotté, l’argile, et des coquillages pour créer des sculptures fascinantes. Ces pièces complexes représentent les esprits de la nature en tant que fusion humaine avec le matériau naturel.
«Quand je travaille avec du bois flotté, je ne pars jamais avec une toile vierge. Chaque morceau de bois est déjà une sculpture, créée par les caresses des vagues et du vent » raconte Debra. « Le bois raconte une histoire et j’essaie de penser à son voyage que je tiens dans ma main. Je prolonge ou raccourcis les courbes et les contours qui existent déjà dans des formes familières d’animaux ou de visages humains. »
Sa sculpture est inspirée par son amour pour ce qui est le plus sacré au monde : les enfants, les animaux, la nature. « Les pièces finies sont le reflet non seulement de ma vie, ma famille, et de mes enfants, mais, une connexion sacrée et éternelle que nous partageons tous avec la nature», dit-elle. Debra était amoureuse de la plage et de la nature durant son enfance et elle est toujours heureuse et reconnaissante lorsqu’elle est en mesure de partager cet amour et son art avec les gens. « La petite fille en moi est toujours fascinée par les formes en bois, le soleil étincelant sur l’eau, les pierres grises lisses, et les algues salées. La simplicité m’apporte plus de bonheur que la complexité. Je souhaite le partager avec les autres. »
Voici LEO, le lion africain
BALOO, l'ours noir
et SHERE KHAN, le tigre du Bengale
/fdata%2F0516386%2Favatar-blog-15630250-tmpphp1PgpOU.jpeg){kind=avatar}
